Synopsis
Et si on vous demandait de mourir… dans un jeu ?
Ilan et Chloé, deux jeunes gens spécialistes des chasses au trésor ont rêvé des années durant de participer à la partie ultime, d’un jeu mystérieux dont on ne connaît pas les règles, dont on ne connaît pas l’entrée, et dont on ne sait même pas s’il existe. Mais dont on connaît le nom : Paranoïa.
Lorsqu’un an après leur rupture Chloé réapparaît dans la vie d’Illan en lui annonçant qu’elle sait comment jouer, ce dernier a totalement rompu avec l’univers des jeux, et vit isolé dans la maison de ses parents disparus en mer. Officiellement morts, mais Ilan est persuadé qu’ils ont été enlevés à cause de leurs recherches scientifiques. Après avoir refusé l’aventure, Illan cède alors que Chloé lui fait part de la rumeur : le gagnant remporterait 300 000 euros.
Après un premier jeu de pistes dans Paris, les deux amis sont enfin sélectionnés. C’est alors qu’ils découvrent la règle numéro 1 : « Quoiqu’il arrive, rien de ce que vous allez vivre n’est la réalité. Il s’agit d’un jeu. », rapidement suivie, à leur arrivée sur les lieux du jeu – un gigantesque bâtiment isolé en pleine montagne appelé Complexe psychiatrique de Swanessong – de la règle numéro 2 : « L’un d’entre vous va mourir. »
Quand les joueurs découvrent le premier cadavre, quand Illan retrouve dans le jeu des informations liées à la disparition de ses parents, la distinction entre le jeu et la réalité est de plus en plus difficile à faire…
Et Paranoia peut alors réellement commencer…
Mon avis:
Nous suivons dans ce nouveau thriller un huis-clos effrayant dans un hôpital psychiatrique, fermé depuis très longtemps. Présenté comme un jeu, un groupe d’internautes, amateurs de chasse au trésor, y participe en résolvant de nombreuses enquêtes sur la toile et chassant les indices qui le mènera à la porte d’entrée du jeu.
Ilan a décroché depuis longtemps, pourtant il va être recontacté par son ex, Chloé, qui, elle, a persisté et a quasiment trouvé l’entrée. Ilan est persuadé que tout cela a un lien avec la disparition de ses parents. C’est pourquoi il se relance dans l’aventure et se retrouve bien malgré lui impliqué, au point d’entrer dans un jeu sans scrupules, aux côtés de Chloé et d’autres personnes. Ils seront 8 à l’entrée, un seul doit parvenir à une belle récompense de 300.000 euros.
Mais très vite le jeu prend des tournures étranges, inquiétantes. Les deux premières règles que les joueurs découvrent une fois enfermés va inquiéter et plonger tout le monde dans une « paranoïa »… Le nom du jeu.
Règle 1: Quoi qu’il arrive, rien de ce que vous allez vivre n’est la réalité. Il s’agit d’un jeu.
Règle 2: L’un d’entre vous va mourir.
Voilà. On entre dans le vif du sujet. Le roman pourrait être poignant de paranoïa qui va monter crescendo au fil des chapitres. Pour autant je n’ai pas vraiment réussi à entrer dans ce rythme. J’ai trouvé des longueurs dans le récit qui en aurait fait lâcher la lecture à plus d’un. J’ai été plutôt déçue par la fin. Je n’ai pas vraiment saisi la réponse à tout cela, et trouvé bien dommage la fin rapide et inattendue à cette histoire. C’est dommage, car dès le début j’ai vraiment été prise dans cette spirale de folie, mais une fois dans le jeu « Paranoïa » j’ai petit à petit décroché.
L’auteur pour autant écrit toujours aussi bien. Il a toujours le même don de nous faire comprendre facilement des termes médicaux complexes. Je n’ai pas accroché à sa fin d’histoire mais j’adhère toujours à son style d’écriture.
– Le style de l’auteur nous emporte très rapidement dans son histoire.
– L’idée de base est très originale pour un huis clos.
– Certains personnages sont incompréhensibles.
Je suis une mère/enfant qui aime plonger dans un monde imaginaire à ses heures perdues. Mon imagination est ma drogue, elle me permet d'être plus optimiste sur le monde qui nous entoure.
Je suis une femme accro à mon appareil photo parfois j'aime me poser avec un livre et voyager dans un monde parfois plus beau que la réalité
Je partage ton avis, j’ai trouvé Puzzle légèrement en dessous d’autres romans de Franck Thilliez.